Nous voilà quelques jours après avoir quittés notre mouillage d’une nuit à Essaouira. La navigation entre le Maroc et Lanzarote est courte et agréable bien que le taux d’humidité devient incroyablement élevé à la nuit tombée.
À notre arrivée à la “Marina Rubicón”, nous sommes heureux de pouvoir (cette fois-ci réellement) mettre pied-à-terre. Nous dégustons notre premier apéritif en terrasse en observant la multitude de touristes anglo-saxons présents sur l’île. Lanzarote offre à la fois une température idéale pour les vacanciers et de nombreux complexes touristiques. On vous avoue que ce n’est pas trop notre truc…
Les jours suivants notre arrivée sont remplis de bricolage avec la maintenance habituelle du Noddi. Le lavage des vêtements ainsi que quelques courses précédent notre découverte des environs.
Nous recherchons une randonnée, notons ses coordonnées GPS et c’est parti ! De bon matin, nous enfilons nos chaussures et partons en direction d’un petit mont à une dizaine de kilomètres. On espère y trouver une belle vue sur l’île.
Nous décidons finalement que cette escale doit laisser place à la suivante : Gran Canaria !
Ici, l’ambiance est sympa : c’est le point de départ de nombreux navigateurs pour effectuer la transatlantique. Aujourd’hui, nous faisons partie de ce cercle de fous !
Las Palmas de Gran Canaria est une grande ville, remplie de restaurants, bars et magasins. Nous sommes ici pour préparer Noddi au grand départ et nous y préparer personellement également.
Durant ces quelques jours que nous nous accordons, nous décidons de louer des motos afin de découvrir plus en profondeur ce que cette nouvelle île peut nous offrir.
Notre escale à Gran Canaria laisse progressivement la place aux préparatifs du bateau. Nous activons l’abonnement de notre téléphone satellite. Désormais, nous démarrons notre première transatlantique dans quelques jours. Léo vous la détaille dans ces deux articles du Carnet d’Expédition. Bonne lecture !